- 24 startups mobilisées pour diagnostiquer et soigner
- 5 startups pour faciliter la vie en période de confinement et soutenir les entreprises
- Plus de 25 projets de maturation développés dans les 13 SATT

Conjugaison du verbe žonglirati ‘jongler’
Conjugaison du verbe simulirati ‘simuler’
Conjugaison du verbe aranžirati ‘arranger’
La recherche publique c’est votre avenir, la valorisation est là pour le construire !
Découvrez en image la vidéo produite par le Réseau C.U.R.I.E. pour la promotion de la valorisation de la recherche publique auprès d’une cible grand public.
Le Réseau C.U.R.I.E. fédère depuis 29 ans les professionnels de la valorisation, du transfert de technologie et de l’innovation issue de la recherche publique. Fort de ses 190 membres, le Réseau C.U.R.I.E. assure une mission de promotion, de développement et de professionnalisation du transfert de technologie, de savoir-faire et de compétences issus du secteur public vers le monde socio-économique. Le Réseau C.U.R.I.E. est au cœur d’un écosystème public-privé au service de la performance économique et du progrès social. En savoir plus : Réseau C.U.R.I.E.Vue d’ensemble de CLONE et des patients à prendre en charge.
Marc Cousineau, enseignant-chercheur au Laboratoire de recherche plasma et conversion d’énergie (LAPLACE, CNRS/UT3–Paul Sabatier/Toulouse INP) et à Toulouse INP-ENSEEIHT accompagné de la marraine de la soirée Nathalie Duquesne (LIEBHERR-Aerospace Toulouse).
Laboratoire commun, une évidence pour tous les acteurs Le projet d’élaboration de laboratoire commun (LCOM [1]) entre le laboratoire LAPLACE et la société NXP est le fruit d’une collaboration de recherche qui s’est étalée sur une période de 10 ans. Après avoir travaillé dans cette entreprise à l’issue de ma thèse dans les années 2000 à 2003 en qualité de concepteur de circuits intégrés pour l’automobile, j’ai rejoint le LAPLACE pour y mener des activités de recherche sur le contrôle rapproché des convertisseurs de puissance. Nous avons alors maintenu des liens étroits de collaboration sur des sujets de recherche exploratoire par le biais d’encadrement de travaux de thèse. En 2014, à l’issue d’un dépôt de brevet sur une méthode de contrôle décentralisé de convertisseurs multicellulaires [2], la SATT Toulouse Tech Transfer a accompagné mon activité par le financement d’un programme de maturation pour une montée en TRL3 [3]. Cette invention, pertinente pour adresser la problématique de sûreté de fonctionnement, a rapidement intéressé NXP pour le développement de solutions pour l’électronique des objets mobiles. Une licence d’exploitation a été signée avec l’entreprise accompagnée d’un programme de transfert de la technologie pour permettre l’élaboration d’un produit pour l’automobile. S’en est suivi des collaborations plus ciblées effectuées par le biais de stages de PFE, d’un post-doc et d’une thèse [4]. L’affinité thématique entre les activités de l’entreprise et celle du laboratoire en électronique de puissance dédiée aux systèmes embarqués a mis en évidence l’intérêt d’élargir la collaboration en associant plusieurs équipes de conception et de recherche de part et d’autre. Dès lors, l’élaboration d’un LCOM pour adresser la sûreté de fonctionnement des électroniques de véhicules autonomes est apparue l’option la plus pertinente. Le SEMA (Systèmes Embarqués pour la Mobilité Autonome) est né. Un partenariat actif et réactif Parmi les avantages qu’offre la structure d’un LCOM, on peut citer :